Un vendredi soir sur la terre (ah ah)
Danko Jones c'était très bon. Dans la salle, des jeunes de 14 ans, des papas et mamans de 40 ans, et des papas et mamans de 40 ans avec leurs enfants de 14 ans, plus quelques uns entre 14 et 40 ans, dont moi.
Son puissant mais propre, grosse patate, une bonne humeur visible sur scène, je dis bravo.
Je suis pas resté jusqu'à la fin, pressé de retrouver mes amis.
Itinéraire d'un vendredi soir: Pause Café rue de Charonne (on connaît le barman), canal St-Martin (c'est nous les éclusiers), trottoir devant la Java (Bouly connaît tout le monde), rue St-Maur jusqu'au Nouveau Casino (les trottoirs nous connaissent par coeur), Nouveau Casino (la guestlist connaissait mon nom, merci pour l'invit').
D'ailleurs désolé aux 2 demoiselles à qui j'avais proposé les invits, on a du se ramener avant vous.. oups.
C'était la Basement là-bas, grosse soirée dubstep dont je parle je parle depuis quelque temps sans y avoir jamais mis les pieds. Et je ne regrette pas d'y être allé. La salle était blindée, sans doute du fait de la présence de Skream, dj anglais de talent, qui a fait remuer le dancefloor sans discontinuer avec du son de qualité. Un gros bravo pour le set, et un spécial big up pour le remix d'Eleanor Rigby de vous savez qui.
Pendant ce temps-là Aphrodite faisait bouger les non moins nombreux junglists à la Java, sur un bpm légèrement plus élevé.
Par contre en mode club le Nouveau Casino ne permet plus aux gens de sortir fumer sa clope dehors, comme pendant le concert de We Are Wolves, où tout se passait très bien, mais les enferme dans un aquarium (c'est l'OPA qui vous a donné le numéro de l'architecte?), du foutage de gueule en bonne et dûe forme.
Si les videurs ne peuvent pas gérer une file d'attente, qu'ils changent de taf. Je dis ça parce que je suis énervé, l'un d'entre eux m'ayant gardé mon paquet de tartelettes à la fraise à l'entrée - véridique - stupide.
On s'est quand-même finis au Zorba, mon vélo m'a ramené au petit matin, le soleil baignait Château-Rouge de ses rayons printaniers, les rues étaient propres et désertes, et mon lit profond de plusieurs kilomètres.